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The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej]

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Kelly Martinez
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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Ven 13 Jan - 13:41


The love you gave me, Nothing else can save me, S.O.S.


S'il fallait faire le bilan de cette soirée, j'avais passé le plus beau réveillon de Noël de tous les temps. J'avais pu observer ce que c'était que de passer du temps dans une famille nombreuse et unie, aimante, sans aucun accroc, seulement avec de la bienveillance. J'avais adoré cette ambiance, je m'y étais sentie bien. Était-ce cela qui m'avait fait relativiser et finalement accepter la proposition d'Alejandro ? Moi qui, depuis ma rupture avec Hank, me refusais à accepter ne serait-ce que l'idée-même d'être en couple à nouveau ? Les arguments d'Alejandro étaient valables et je les comprenais, mais moi, je n'avais vu que les problèmes à venir. Mais il voulait absolument que nous tentions notre chance et finalement, j'avais accepté. Il était adulte, il disait qu'il pourrait encaisser et me supporter avec mes défauts, alors ma foi, s'il y tenait et qu'il n'avait pas peur, pourquoi aurais-je peur quand même ?
Les au revoirs se firent dans la bonne humeur, nous étions partis peu après que les premiers aillent se coucher. La voiture chargée, Alej au volant et moi à côté avec la petite boule de poils endormie que j'avais délicatement posée dans sa boîte de transport pour plus de sécurité durant le trajet, nous pûmes reprendre la route. Il faisait vraiment froid dehors, mais le chauffage de la voiture ne tarda pas à nous laisser en de meilleures conditions pour la route. La réflexion du conducteur me fit rire.

- Oui c'est ça, tu te rends compte, je sors avec The Madrilian ! C'est un truc de dingue ! dis-je avec un petit rire. Non, plus sérieusement, même si effectivement c'est un truc de dingue, j'espère que tu es conscient de la chance que tu as d'avoir une famille comme ça. Ta mère, tes tantes, tes cousins, tout le monde est incroyable. C'est impossible de ne pas faire bonne figure avec des personnes aussi géniales. Même le rustre oncle Stefano, ajoutai-je en souriant pour reprendre son propos.

J'étais contente qu'il n'ait pas eu honte de moi ou quoi que ce soit. La dernière chose que j'aurais voulu aurait été de l'embarrasser devant sa famille. Mais puisqu'il disait que cette dernière m'avait appréciée, tout était parfait. Ensuite, il parla de ce "nous" que j'avais concédé à officialiser en quelques sortes.

- Ouais je... Je suis pas encore bien à l'aise avec l'idée mais je te fais confiance, je sais que tu seras trop mignon. Juste... On n'est pas obligés d'épiloguer, dis-je en posant ma main gauche sur sa cuisse.

Je ne voulais pas en discuter, je savais la décision que j'avais prise mais comme cela allait contre tout ce que je m'étais juré de ne pas faire depuis des années, c'était encore compliqué dans ma tête.
Le trajet ne fut pas bien long, nous avions mis de la musique dans la voiture et chantonné tout du long. Puis, arrivés sur place, il fallut décharger le véhicule. Je pris donc la boîte de la minette et le paquet de croquettes. Une fois dans l'appartement, nous nous mîmes à disposer ses affaires à des places stratégiques. Gamelle d'eau près de la cuisine, gamelle de croquettes de l'autre côté puisque je savait que les chats n'aimaient pas avoir leur eau et nourriture à côté, la litière dans la salle de bain.

- Je vais la réveiller pour lui montrer.

Avec douceur, j'ouvris la porte de la caisse pour la prendre délicatement et lui montrer les divers endroits stratégiques qui lui étaient dédiés.

- Après demain, j'irai lui prendre un arbre à chat, sinon ton sacro-saint canapé sera vite foutu.

Je laissai Alej déposer le panier où il le voudrait et j'y installai la petite minette. Elle semblait épuisée de sa journée et tourna dedans pour s'y installer.

- Bon, je crois qu'elle se sent bien. On a couché la petite, les adultes peuvent prendre du temps pour eux.

Je pris Alejandro par la main pour l'entraîner dans sa chambre.

- Tu veux voir ton deuxième cadeau ?

Je pris ses mains pour les faire atteindre la fermeture éclair de ma robe afin qu'il puisse la dézipper. Une fois ceci fait, je le poussai à s'allonger sur le lit tandis que je laissai glisser l'étoffe rouge de ma tenue. Il put ainsi découvrir des sous-vêtements aux couleurs de Noël, rouges bordés de blanc.

- Il me semble que tu as été sage cette année... dis-je en venant sur lui d'un air félin.

Assise à califourchon sur lui, je commençai par le défaire de cet affreux pull de Noël, puis de sa chemise pour mettre à l'air ce torse que j'aimais tant embrasser. J'y disposai çà et là des baisers tandis que mes mains s'affairaient à défaire sa ceinture puis la braguette de son pantalon.


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Alejandro Wilson
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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Sam 14 Jan - 0:25


The love you gave me, Nothing else can save me, S.O.S.


Était-ce la magie de Noël qui prenait vie et allégeait nos cœurs ? J’aurais pu le croire si quelques flacons étaient apparus. Ce qui n’était pas le cas et désolait le petit enfant en moi. Mais cette désolation ne dura qu’un court instant. Certes, il ne neigeait point, cependant je crois bien que la magie de Noël faisait son œuvre. Il me suffisait de poser mon regard sur Kelly, pour le comprendre. Quelque chose avait changé, mais malgré ma sobriété, je demeurais bien incapable de savoir quoi. Elle semblait plus rayonnante ce soir et peut-être même plus épanouie.

Après les derniers saluts de rigueur, nous pûmes quitter les lieux avec une nouvelle pensionnaire. Je n’étais pas peu fier de mon coup, d’autant plus que cela me permettait d’accomplir une bonne action en offrant à ce chaton la possibilité d’être adopté. J’offrais également à ma belle brune, la possibilité d’avoir un autre être adorable pour la consoler dans les moments difficiles. Et là-dessus, je ne doutais pas des capacités de notre petite poilue.

Mains sur le volant et après avoir réajusté mon siège pour plus de confort, je me laissais aller à quelques répliques aussi légères que mon humour. « — Un truc de dingue, je n’aurais pas dit mieux. Surtout que The Madrilian fait les meilleurs pancakes végans de Madrid. » Voilà qu’à mon tour, je me laissais aller à quelques petits éclats de rire tout en ayant le regard rivé sur la route. En cette soirée festive, il fallait rester vigilant. Car si je demeurais sobre pour des raisons évidentes, il n’était pas impossible de croiser des personnes moins consciencieuses avec leur alcoolémie.

« — Je suis conscient de tout un tas de choses, tu sais ; à commencer par le fait que le côté familial de mon arbre généalogie est plutôt pas mal. Cela dit, j’avais un peu peur qu’ils te harcèlent de questions et je ne me serais pas douté que tu aurais des fans dans le groupe. Franchement, j’ai même été surpris qu’ils arrivent à évacuer la chose aussi vite. Et tu t’es si vite intégrée, c’est comme si tu connaissais tout le monde depuis longtemps. Donc good job miss Martinez. Maintenant, c’est sûr, on sera invité partout. »

J’évoquais ensuite, avec tout autant de légèreté, ce « nous » que nous formions à présent. Mais je compris rapidement que mon interlocutrice n’était pas encore vraiment à l’aise avec ce concept. « — Ok… » commençais-je alors qu’elle venait de poser sa main sur ma cuisse. « — On ne va pas épiloguer dans ce cas. » Je ne voulais pas la mettre mal à l’aise et je lui avais promis de lui laisser de l’espace. J’imagine que cela valait aussi pour cette officialisation toute récente. « — Aller, tu sais quoi, on va mettre un peu de musique. Ça va nous changer les idées ! »  La radio fut donc notre échappatoire durant le reste du trajet.

Arrivés sur place, il nous restait à décharger la voiture et conduire notre nouvelle invitée dans ses quartiers. Kelly après s’être déchaussé, installa sa petite protéger, tandis que j’achevais de monter le reste de nos affaires. Il ne restait plus que réveiller le petit monstre pour lui faire découvrir son nouvel univers.

« — Je crois bien qu’elle va se plaire par ici. » J’avais déjà eu un chat par le passé et je devais reconnaître que la cohabitation s’était plutôt bien passée ; assez pour que j’en vienne à me demander pourquoi je n’avais pas réitéré l’expérience. « — Le canapé ! Effectivement, il faut qu’on le préserve d’une attaque. Je mettrais un plaid dessus demain, par précaution. » Le panier dans les mains, je m’avançais malgré tout près du canapé qui offrait une vue sans pareil sur la baie vitrée. « — Elle pourra sentir le soleil se lever par ici. C’est une bonne place, je pense. »  Kelly installa donc notre petite protégée qui sembla trouver ses marques.

« — Du temps pour nous ? » Elle me prit aussitôt la main et m’entraina jusque dans la chambre, me rappelant au passage qu’elle avait un deuxième cadeau pour moi. « — Ah oui, je n’attends que ça depuis que tu en as parlé. Mais je dois t’avouer que je n’ai pas de deuxième cadeau. Ce qui m’envoie navrer… » Elle ne se fit pas prier pour guider mes mains sur la fermeture éclair de sa robe qui, une fois dézippée, me valut d’être gentiment poussé sur le lit tandis que la demoiselle laissait apparaître de magnifiques et affriolants sous-vêtements aux couleurs de Noël.

« — Il n’y a pas à dire, tu es dans le thème ! Et effectivement, il me semble que j’ai été sage cette année, mais je risque de l’être moins d’ici quelques secondes. » Sensuelle était la démarche avant de venir s’asseoir à califourchon sur moi. Je restais là, silencieux, sans quitter son regard et la laissant faire de moi ce qu’elle voulait ; en l’occurrence, me défaire de mon hideux pull de Noël avant de retirer tout ce qui pouvait être enlevé.  

« — Si je te fais prendre ton pied, ça compte comme un deuxième cadeau ? » demandais-je presque innocemment alors que sa main, après avoir abaissé ma braguette, se baladait sous mon boxer pour saisir l’objet vaillant de son désir.



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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Sam 14 Jan - 15:31


The love you gave me, Nothing else can save me, S.O.S.


À bord de la Wilson-mobile, la discussion alternait enrre légèreté et sérieux, mais j'avais fait comprendre à Alejandro que je ne voulais pas trop discuter de cette officialisation de notre relation. Je n'eb revenais pas, j'avais accepté d'etre en couple, avec tous les inconvénients qie cela comportait, toutes les craintes que j'avais, à la fois pour moi et pour lui. Non, je ne voulais pas eb parler, cela m'angoissait et je ne voulais pas ressentir d'angoisse, encore moins ce soir, surtout après ube aussi douce et délicieuse soirée. Comme toujours, Alejandro faisait preuve de compréhension.

Le retour à son appartement se fit donc en musique. Il ny avakt personne sur oa route. Il fallait s'y attendre le soir de Noël. Nous avions installé la nouvelle pensionnaire qui avait sommairement découvert ses quartiers avant de s'endormir dans le panier lui étant destiné et que le propriétaire des lieux avait installé de façon stratégique.

- C'est adorable de penser à tout comme ça. Merci poir elle.

J'en profitai alors pour entraîner Alejandro dans sa chambre. Il me disait être impatient de découvrir son derbier cadeau, ce qui ne fit qu'attiser mon sourire.

- T'as pas besoin de deuxième cadeau... On a qu'à dire sue le mien est un cadeau pour deux.

Il ne fallut pas plus d'une minute pour que ma robe glisse le lobg de mon corps, laissant voir un ebselble de sous-vêtements sexy rouge et blancs.

- Tu vois, moi aussi jai des vêtements de Noël...

Sa réponse quant à sa sagesse me fit sourire alors que je venais de mettre à nu son torse. Mes mains appuyées dabs les siennes, je vins me saisir de son live d'oreille avant de murmurer.

- On a besoin d'être sages que jusqu'à Noël. Maintenant tu peux être un vilain garçon.

Puis, ayant défait sa ceinture er déboutonné son jeans, je l'entraînai en arrière avec moi pour quil se remette debout afin que je puisse lui retirer le reste de ses vêtements. Pantalon et boxer ainsi que ses chaussettes jonchèrent rapidement le sol aux côtés de ma robe. Je glissai une main dans son dos avant de me coller contre lui pour venir l'embrasser avec passion, laissant mon autre main caresser sa virilité, visiblement ravie de me retrouver. Je laissai mes dents traîner sur sa lèvre inférieure avant de rompre le contact buccal pour l'inciter à s'asseoir au bord du lit.

- Oui, un orgasme ça compte comme un cadeau. Mais d'abord, c'est à toi de disposer du tien.

Je revins à sa bouche avant de glisser le long de son torse, le parsemant de baisers et de suçons. Une main sur ses pectoraux, je le fis se pencher en arrière pour que son dos retrouve le lit, tandis que ma bouche se saisissait de son membre pour l'exciter davantage.


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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Dim 15 Jan - 19:17


The love you gave me, Nothing else can save me, S.O.S.


C’était comme excitant, grisant même, avec une ivresse sans alcool et donc un plaisir sans artifices. Cependant, même si le nuage sur lequel je me trouve semblait confortable, rien ne m’était acquis. J’avais à mes côtés une phobique de l’amour, marquée par des échecs passés et qui, pour se protéger, avait érigé la plus grande des forteresses ; imperméable en toutes circonstances. Du moins, c’était le cas avant que nous nous rencontrions. Mais j’avais la victoire modeste et je savais que si j’avais réussi l’impensable, il me fallait malgré tout faire preuve de modestie, et ne pas être emporté par l’ivresse des sentiments, tel un amoureux transi.

Le retour à l’appartement, nous permîmes de faire découvrir à ma nouvelle pensionnaire son lieu de vie ; qui semblait à son goût à en juger par la vitesse à laquelle elle s’était installée dans son panier, près de mon précieux canapé convertible. J’étais plutôt ravi de voir l’animal à l’aise et sa nouvelle propriétaire conquise. Et je fus encore plus ravi, d’être récompensé en étant trainé gentiment jusque dans ma chambre. Le moins que l’on puisse dire c’est que Kelly avait bien prévu son coup. Étais-je surpris ? Je mentirais si je répondais que non. Toutefois, je ne m’attendais pas à être ainsi émoustillé par de la lingerie aux couleurs de Noël, qui devenait ma fête préférée pour des raisons évidentes.

« — Donc un cadeau pour deux. J’aime l’idée surtout avec ce que j’ai sous les yeux. Si j’avais su, j’aurais sorti le caleçon de Noël pour être raccord. » Mais je n’avais ni boxer ni caleçon pour célébrer la fête des cadeaux. Peut-être devrais-je y penser pour l’année prochaine, quitte à instaurer une nouvelle tradition. En attendant, je préférais me focaliser sur le présent qui se chargeait de me défaire de mon pull moche.

Kelly était parfaite ; que dis-je, Kelly est une bombe atomique ; une de celle que l’on ne croise pas à chaque coin de rue, ce qui rend la contemplation d’autant plus agréable. Son corps était divin, sublimé par cette lingerie affriolante qui me faisait de l’œil et semblait s’impatienter quant au fait de ne pas déjà choir au sol. Je me sentais chanceux d’avoir pris une telle femme dans mes filets et plus encore d’être à son goût ; moi qui depuis ma dernière relation, avais tendance à douter de mon charme. Je m’étais donc éhontément fourvoyé à en juger par le regard empli de désir, qu’elle m’adressait après m’avoir retiré le haut et s’être repue de mon lobe ; une partie devenue très érogène à son contact. Et que dire de cette voix, qui, dans un murmure, transpirait le désir et faisait naître en moi, une excitation presque incontrôlable.

« — Tu peux me faire confiance, j’avais bien l’intention d’être un vilain garçon. »

Elle menait la danse ; une danse lascive dont j’étais le spectateur privilégié. Je la laissais donc faire de moi ce dont elle avait envie ; à commencer par me défaire de ce surplus de tissu, devenu une entrave. Peau contre peau, nous pouvions dès lors sentir la chaleur qui émanait l’un de l’autre ; une chaleur légèrement moite qui incitait notre épiderme à se coller, se décoller au rythme incessant de la chorégraphie sensuelle de nos corps. Sa bouche, quant à elle, cherchait la mienne avant de venir se plaquer avec passion contre mes lèvres et d’en saisir chaque parcelle. Je sentis presque aussitôt, une chaleur autre caresser mon entre-jambe, tandis que ma langue pénétrait l’intérieur de sa bouche.

Nos langues se cherchaient dans un ballet frénétique avant de se frôler, de se toucher, de se coller. J’en avais des frissons. Comment faisait-elle pour me procurer autant d’effets alors que ce n’était certainement pas la première fois que nous nous envoyions en l’air ? Pour dire vrai, j’avais arrêté de compter depuis bien longtemps, tant les fois étaient nombreuses et imprévisibles.

J’avais donc prévu de lui offrir un énième orgasme en guise de cadeau, ce qu’elle semblait accepter avant de prendre en main la situation en m’incitant à m’asseoir au bord du lit ; ce que je fis évidemment, sans réfléchir, trop excité d’être pris en main, ou en bouche. Car oui, c’est bien cette vile tentatrice qui glissait impunément le long de mon torse tout en parsemant mon corps de quelques suçons ; preuve indéniable que je lui appartenais. Puis sa main chaude prit appui sur mon torse et m’incita à m’allonger sur le dos. Elle avait le contrôle et je ne boudais pas mon plaisir plus encore lorsque je sentis sa bouche saisir ma virilité durcie.

« — Je suis gâté là. » Le jeu de mots paraissait sans finesse, mais traduisait mon état d’esprit. Je fermais donc les yeux, pour savourer plus intensément cette délicieuse gâterie qui m’était offerte sans que je n’aie eu à la demander. C’était bon, délicieux, incroyable, extatique. Mon cœur s’emballait à mesure qu’elle intensifiait sa prise en bouche. J’avais éhontément chaud, assez pour perdre la raison et omettre les sacro-saints préliminaires. Ainsi, je l’incitais à remonter, capturant sa bouche avec passion au point de devoir nous séparer pour respirer. Puis je la déséquilibrais pour me placer au-dessus et prendre le contrôle.

J’étais dur comme l’acier et sans me faire prier, je la pénétrais avec vigueur avant de venir lui murmurer au creux de l’oreille « — Je t’avais dit que je serais un vilain garçon. » Dès lors, je l’incitais à œuvrer en missionnaire, m’enfonçant un peu plus en elle à chaque coup de reins. Le premier gémissement fut salvateur, assez pour m’inciter à recommencer, encore et encore tout en lui soulevant les jambes pour les écarter un peu plus et donner une intensité nouvelle à mes mouvements. La tête de lit tapait à nouveau contre le mur et ce fut encore plus fort lorsque les positions changèrent.

Nous étions comme débridés, des animaux sauvages jamais rassasiés. Les minutes s’égrenaient tandis que les gémissements redoublaient. La chaleur était moite, nos peaux collantes de sueurs, mais il faudrait davantage pour nous inciter à arrêter. Cependant, les mouvements se faisaient moins intenses et la bestialité laissait place à des gestes plus lents. Kelly avait repris le dessus et à califourchon sur moi, elle entamait la dernière chevauchée, tandis que je saisissais sa poitrine dans l’effort.

« — Ahhh WTF ! » finis-je par lâcher quelques minutes plus tard après l’ultime gémissement. Mon cœur tambourinait contre ma cage thoracique, j’étais en nage, assez pour avoir l’impression d’avoir couru tout un marathon, mais j’étais heureux. « — Te rends-tu compte qu’à chaque fois… » Je marquais des pauses pour reprendre mon souffle. « … c’est encore meilleur. Comment fait-on pour autant prendre notre pied ? » Mains derrière la tête, sur le dos, j’observais presque naïvement le plafond. « — Merci pour ce cadeau en tout cas. J’ai grandement apprécié et la lingerie et le modèle. »



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Kelly Martinez
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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Lun 16 Jan - 1:44


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Dire qu'Alejandro me plaisait était un euphémisme. Chaque fois que je posais les yeux sur cet homme, je mourais d'envie de nous déshabiller tous les deux. Aussi, quand il avait dit qu'il avait été impatient de découvrir son second cadeau dès l'instant que je l'avais mentionné, j'avais eu envie de lui répondre que moi aussi. Mais je n'avais pas voulu spoiler la surprise.
Ainsi, il semblait appréciser l'ensemble que je portais, et qui ne tarda pas, à l'instar des vêtements du prof de théâtre, à rejoindre le sol. Nus l'un contre l'autre, nos corps s'attiraient, s'attisaient, se désiraient, se caressaient. Je voulais lui faire plaisir; plus encore, je voulais le rendre fou, fou de moi. Il sembla ravi d'avoir une petite gâterie. Il était à ma merci et j'aimais cette impression. Rapidement, il m'attira à lui, me faisant remonter le long de son corps, pour que nos bouches se retrouvent dans une nouvelle étreinte passionnée. Puis, nous échangeâmes les rôles, il se retrouva au-dessus de moi, ne causant en moi que plus d'excitation encore. Mon coeur s'emballait, et mon corps entier s'embrasa lorsque la virilité d'Alej pénétra mon intimité. Je me mordillai la lèvre inférieure en l'entendant me confirmer qu'il serait un vilain garçon. Mes mains retrouvèrent son dos où mes ongles ne se gênèrent pas pour imprimer leur marque, alors que ses coups de reins me tiraient des gémissements que je n'étais plus en mesure de réprimer.

- Continue, continue !!

Le plaisir montait déjà, c'était comme si son corps était fait à la mesure du mien, qu'il savait quoi faire et quand le faire pour que nous soyons en symbiose. Nous changeâmes quelques fois de positions pour plus de plaisir encore. Il tint sa promesse, j'eus un premier orgasme avant qu'il ne ralentisse la cadence. J'en profitai pour revenir sur lui menant une dernière fois la danse jusqu'à ce que lui aussi jouisse, en même temps que moi cette fois, signant la fin de notre interminable ballet nocturne.
Nous étions trempés de sueur. Je me laissai glisser contre lui en douceur, gardant mon visage dans son cou tandis qu'il demeurait allongé sur le dos. Mon souffle chaud se perdait dans son cou, reprenant peu à peu une cadence normale. Sa remarque me fit sourire.

- C'est exactement ce que j'étais en train de me dire...

Je me redressai en lui souriant.

- Je suis contente que tu aies aimé ton cadeau. Joyeux Noël. Je vais prendre une douche.

Je me penchai pour l'embrasser une dernière fois avant de quitter la chambre pour regagner la douche. Il était tard à présent. Une fois toute propre, j'enfilai une nuisette vert sapin avant de retrouver la chambre. Je rassemblai un peu nos vêtements que je déposai sur sa commode avant de revenir m'allonger. La fatigue commençait à me gagner en cette heure tardive de la nuit... ou bien très matinale.

- Bonne nuit, The Madrilian, dis-je avec un sourire en sa direction.

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Alejandro Wilson
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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Mer 18 Jan - 0:04


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La synchronicité de nos corps continuait de me surprendre. J’en arrivais presque à croire que nos cœurs eux-mêmes battaient à l’unisson. Nous ne faisions plus qu’un désormais, ce qui m’amenait à penser à Platon et sa phrase proverbiale du Banquet, « Chacun cherche sa moitié. » Toute une histoire, un mythe plutôt, celui des âmes sœurs.

J’aurais aisément pu sourire en songeant aux divers personnages présents dans le récit relaté par Platon. Comment donc ne pas penser à Pausanias qui esquisse plusieurs types d’amour ? Par la suite, il songe au fait que l’amour du corps est inférieur à l’amour de l’esprit ; le premier étant éphémère à l’inverse du second qui adhère à quelque chose de constant.

Aristophane occupe ensuite mon esprit. Le bougre, en se penchant sur l’origine de l’amour, semblait bien décidé à comprendre ce sentiment qui nous pousse à nous unir à quelqu’un d’autre. Je vais m’épargner le reste de la réflexion. Toujours est-il qu’en mettant un terme à l’androgynie de l’être humain, ce cher Zeus a eu la brillante idée de le couper en deux ; faisant de l’être un homme et une femme qui se retrouvaient condamnés pour l’éternité, à chercher leur partie manquante.

Oui, j’étais plutôt calé philo lors de mes jeunes années. Cependant, le fait de penser à Platon, juste après avoir touché le septième ciel, me ramena bien plus vite à la réalité. Je pouvais encore percevoir les ultimes suppliques de mon Américaine qui venait de se glisser tout contre moi après le dernier assaut. Son souffle chaud venait mourir tout contre mon cou luisant de sueur, tandis que son cœur cavalait dans sa poitrine. Je me laissais aller à quelques réflexions triviales, ce qui me fit sourire en retour. Kelly aussi venait d’émettre une esquisse, je sentais ses lèvres s’élargir et sa bouche se mouvoir dans mon cou.

« — On est sûrement connecté sur le même wifi d’où le fait que la connexion soit bonne. »

Et la voilà qui se redresse m’incitant à plonger mon regard dans le sien. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne peux m’empêcher de lui sourire en retour. « — Aimé ? Tu déconnes, j’ai adoré. J’espère que j’aurai le droit à un autre cadeau de ce type pour fêter mes quarante-sept printemps. » Mais la voilà qui déjà, après un furtif baiser, s’éloignait pour rejoindre la salle de bains. J’observais la porte se fermer, hésitant l’espace d’un instant à rejoindre mon fantasme ambulant sous la douche. Non, ce n’était pas raisonnable, autant que le fait d’être à nouveau nu en sa compagnie dans un espace réduit. Cependant, je me refusais à dormir sans avoir pris une douche. C’est donc patiemment que j’attendis mon tour. J’avais juste oublié que la demoiselle était une femme et que nous n’avions pas la même notion du temps.

Une vingtaine de minutes plus tard, elle s’extirpa de la salle de bains, une nuisette sur le dos (pas mal la vue.) « — Qu’est-ce que tu fais ? » Elle semblait encline à rassembler nos affaires qu’elle déposa au plus près avant de retrouver le lit à mes côtés.

« — Je vais prendre une douche. L’option “odeur de chacal” ne fait pas partie du package. » Je l’embrassais furtivement avant de quitter le lit, nu comme un ver, et de me retourner une dernière fois. « — Bonne nuit l’américaine ! » Puis je m’enfermais à mon tour, en quête de propreté. J’étais certain qu’à mon retour de la douche, Kelly aura déjà rejoint les bras voluptueux de Morphée, ce qui m’incita à prendre mon temps, sans faire trop de bruit cependant. Je ne voulais pas non plus réveiller notre nouvelle pensionnaire sans nom.

Sûrement plus d’une vingtaine de minutes s’étaient écoulées lorsque la porte de la salle de bains s’ouvrit à nouveau. Une brume légère et fruitée s’échappa de la pièce tandis que je m’approchais de mon dressing pour enfiler un boxer propre avant de rejoindre le lit à pas de loup. Elle dormait évidemment, m’offrant de ce fait, la plus agréable des contemplations. Si j’avais pu la photographier, je l’aurais fait. Mon portable étant dans le salon, je pus sans mal résister à cette pulsion artistique. Prudemment, je me glissais sous les draps. Je ne voulais pas la réveiller.

« — Bonne nuit belle amour, je t… » Fort heureusement, la raison exerçait encore suffisamment d’influence pour m’empêcher de faire entendre les fameux trois mots que l’on réserve à l’élu(e). Je l’observais à nouveau, avant d’éteindre la lumière et de prendre place à ces côtés, plus léger que jamais et propre de surcroit.


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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Mer 18 Jan - 21:26


The love you gave me, Nothing else can save me, S.O.S.


Les ébats avec Alejandro étaient toujours torrides, et chaque foidms plus satisfaisants. Jamais je n'avais eu un amant comme lui, il savait écouter mon corps et m'accompagner chaque fois aux portes du septième ciel. Chaque nouveau ballet de nos corps dénudés était une nouvelle apothéose d'extase et de plaisir, c'était insensé. Ce qui m'amusa fut qu'il l'avait lui aussi remarqué. Étions-nous à ce point sur la même longueur d'onde ?
Je notai dans un coin de ma tête que son anniversaire approchait. J'irais me renseigner auprès du collègue prof de chant, je savais qu'ils étaient amis, et j' appréciais moi aussi Beltran. Il fut temps d'aller prendre une bonne douche pour se débarrasser de toute cette sueur. Je n'eus pas la force d'attendre Alej et je m'endormis avant son retour de la salle de bain.

À mon réveil, il dormait encore à poings fermés. Mais étant inspirée, je décidai de me lever à pas de loup pour ne pas le réveiller, refermant la porte avec délicatesse, pour rejoindre le salon. Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant la petite poilue lovée sur la housse de la guitare d'Alejandro. Souriant, je pris en vitesse mon téléphone pour la prendre en photo. Par conte, l'appareil réclamait qu'on le charge, je n'avais pas eu le temps de le faire. Je m'assurai qu'il était bien en silencieux et le mit en charge dans un coin. Je m'occuperais des milliers de notifications plus tard.

Puis, j'allais récupérer doucement la minette.
Si Alej te voit là, il risque de ne pas apprécier.
Mon geste la réveilla mais elle se laissa docilement attraper. J'en profitai pour la mettre devant sa gamelle de croquettes au cas où elle aurait faim. Puis j'allai récupérer le synté pour me remettre à faire un peu de musique, sans oublier de brancher le casque pour ne pas reveiller mon hôte, devenu depuis la veille au soir mon petit ami.
Assise en tailleur sur le canapé, le clavier devant moi, un cahier ouvert avec un crayon, je griffonnais des notes et de textes. Soudain, je sentis quelque chose venir sur moi. La minette avait décidé d'élire domicile sur mes jambes. Amusée, je la regardai faire, cherchant sa place tournant plusieurs fois avant de se coucher. Je laissai mes doigts se perdre dans sa fourrure, ce sui déclencha presque instantanément une partition entière de ronronnement. C'était adorable à voir et à entendre.

Le temps passa sans que je ne le remarque avant que finalement mon bel endormi ne fasse irruption, sans que je ne l'entende à cause du casque sur mes oreilles. C'est le petit félin qui le remarqua en premier, allant à sa rencontre après avoir entendu la porte sans doute. Tournant la tête, je remarquai donc sa présence. Tout sourire, je retirai le casque et le rejoignis.

- Salut bel endormi. J'ai trouvé son prénom. Tarra, pour guitarra. Regarde où je l'ai trouvée ce matin.

Je récupérai mon téléphone suffisamment rechargé pour lui montrer la photo. Je m'aperçus que les notifications be faisaient qie s'accroître.

- Qu'est-ce qui se passe avec les réseaux ?

J'étais loin de me douter qu'une des petites cousines d'Alej avait partagé la vidéo de moi au piano chantant la chanson de Lady Gaga et qu'elle avait déjà été partagée des dizaines de milliers de fois.


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Alejandro Wilson
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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Jeu 19 Jan - 17:36


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La soirée/nuit s’achevait sous les meilleurs auspices. Une fois n’est pas coutume nous nous étions donnés à l’autre sans modération avant qu’enfin la fatigue ne se rappelle à notre bon souvenir. Mais avant de sombrer dans les bras si confortables de l’ami Morphée, la douche était de rigueur. Puis à mon retour, je constatais sans surprise que mon invitée dormait déjà. Je la rejoignis donc en redoublant de précaution afin de ne pas la réveiller. Et alors que je lui souhaitais de faire de beaux rêves, ma langue fourcha et me préserva spontanément d’un fatal élan de lyrisme. Oui, il s’en était fallu de peu pour que je fasse entendre à une Kelly quasi endormie, les fameux trois mots que l’on réserve d’ordinaire à la plus spéciale des personnes. Malgré tout, contrairement aux fois précédentes, je n’étais pas ébranlé par ma maladresse et la situation. J’achevais donc de prendre place dans le lit, observant la belle endormie l’espace d’un instant, avant d’enfin consentir à nous plonger dans l’obscurité.

Il faisait étrangement froid, assez pour que j’en vienne à tâter l’autre côté du lit. La place était vide depuis plusieurs minutes à en juger par la fraicheur des draps. Dehors, le jour prenait ses quartiers à en juger par la clarté amoindrie par les rideaux. J’en étais réduit à m’étirer avant de quitter le lit pour rejoindre mon placard et sortir de quoi me couvrir tout en prenant la direction de la salle de bains pour un petit rafraichissement. Et ce n’est qu’une fois présentable que je quittais la chambre pour regagner la pièce de vie dans l’espoir d’y croiser une autre présence humaine. Mais à ma grande surprise, c’est par un petit chaton sans nom que je fus accueilli. « — Salut toi ! » lâchais-je en me baissant pour venir soulever ce petit être dont la mignonnerie ne faisait pas défaut. Kelly, en pleine création surement, se défit de son casque et se tourna pour me faire face.

« — Bonjour à toi ! Ça fait longtemps que tu es réveillé ? » demandais-je un tantinet curieux alors qu’elle laissait entendre qu’elle avait enfin trouvé un prénom à notre nouvelle pensionnaire. « — Tara pour guitara ? » réitérais-je histoire de me faire à l’idée. « — Je serais curieux de savoir ce qui t’a inspiré. » Elle se redressa et portable en main, me montra la source de son inspiration par le biais d’une photo qu’elle avait prise. « — House ça marchait aussi non ? » tentais-je pas certain par la proposition avant de me rentre compte que le portable de ma petite amie, n’avait de cesse de vibrer. « — Ce n’est pas le mode vibro qui est activé à tout hasard ? » Mais je voyais bien que cet excès de notifications semblait contrarier Kelly. J’inclinais donc la tête pour observer son écran avant de me rendre compte que mon cellulaire était lui sur le point d’imploser.

« — Oula qu’est-ce qui se passe ? »

Par précaution je préférais déposer Tara nouvellement nommée avant de m’en aller récupérer mon portable qui se trouvait sur le comptoir de la cuisine. En le déverrouillant, je me rendis compte assez rapidement que j’avais reçu plusieurs notifications via Instagram et Facebook, les seuls réseaux sur lesquels je me trouvais de façon officielle.

« — Euh, je suis tagué de partout sur Instagram. Ah fuck off ! » Je compris bien assez vite ce qui nous valait cet affut de notifications. Quelqu’un, que je ne parvenais pas encore à identifier, avait posté une vidéo de Kelly et moi en train de chanter la veille. « — J’ai l’impression que l’une de mes petites cousines n’a pas pu s’empêcher de poster. Il s’agit de notre duo sur la chanson de Lady Gaga. Je suis désolé, je ne pensais pas que les filles allaient nous la mettre à l’envers. Tu es en colère ? »



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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Jeu 19 Jan - 19:37


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J'étais inspirée et bien décidée à écrire et composer un peu avant que mon... Petit ami n'émerge. Cela le faisaot drôle de me dire que j'avais un petit ami. Concentrée, ce fut Tarra qui m'alerta. Aussitôt, je les rejoignis, tout sourire. La réaction d'Alej me fit sourire.

- Housse, c'est pas sexy. Tarra ça fait mystérieux avec les deux R. Je trouve ça cool. Et on dirait qu'elle valide, dis-je eb venant la grattouiller dans le cou, déclenchant une salve de ronrons.

Puis, ce fut mon téléphone qui, assez rechargé, émit des vibrations.

- J'ai pas besoin de vibro tant que tu es là, répondis-je à Alej avec un clin d'œil.

Cependant, alors que lui aussi consultait le sien, je découvris en même temps que lui la cause de cet acharnement. Je survolais les premiers commentaires à ma portée alors que le grand cousin protecteur me demandait si j'étais en colère. Mon regard ne quittait plus l'écran et je reculais pour m'asseoir sur l'une des chaises du bar.

- Si je suis en colère ? laissai-je entendre à mi-voix.

Je laissai quelques secondes en suspens.

- Ça a été partagé deux cent quarante-huit milles fois depuis ce matin... Et il y a le double de commentaires apparemment...

Je levai finalement mon regard vers Alejandro.

- Des gentils commentaires, ajoutai-je avec un sourire. J'aurais préféré avoir donné mon accord... Mais bon. Tant que ça ne nuit pas à mon image...

Je n'avais plus le choix, il fallait faire comme si c'était voulu. À mon tour je repartageai la vidéo avec un hashtag #feliznavidad et des excuses auprès de Lady Gaga, avant de montrer mon post à mon nouveau chéri.

- Tu penses que ça va ?

Je devais faire attention à ce que je mettais sur les réseaux.
À peine posté, les likes et les commentaires défilaient. Beaucouo demandaient si j'allais enregistrer un nouvel album. Je décidai de délaisser mon téléphone.

- Bon, si on se faisait un café ?

C'était le jour de Noël, je ne voulais pas me parasiter avec les réseaux sociaux. Je voulais passer du temps avec Alejandro. Et Tarra bien sûr.
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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Ven 20 Jan - 0:23


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Je venais donc de quitter ma chambre, ravi de constater que Kelly n’avait pas déserté. À en juger par le casque qu’elle portait encore et les quelques partitions qui trainaient, elle était en pleine création. J’étais plutôt content de la savoir suffisamment inspirée pour écrire et composer. Au moins, cette activité la tenait éloignée de ces démons qu’elle peinait à nommer. Malgré tout, je demeurais confiant quant à l’avenir, le nôtre notamment. C’est donc tout sourire que je prenais dans mes bras notre nouvelle pensionnaire qui portait un nom désormais.

« — Ça sonne bien en fait. Force est de reconnaître qu’effectivement Housse n’est ni mystérieux ni sexy. Donc ça sera Tarra avec deux “r” c’est ça ? Bien, une bonne chose de faite dans ce cas. » Et alors que je m’apprêtais à énoncer la suite du programme, nos portables furent pris d’une espèce de frénésie ; une de celle que l’on ne voit que dans les films d’horreur ou lorsque nous sommes pourvus d’une certaine célébrité, comme Kelly Martinez ici présente.

« — Je suis ravi d’apprendre que tu n’as pas besoin de vibro en ma présence. Ça flatte mon ego, tu sais. » Je tâchais de demeurer léger avant de prendre connaissance de la situation et de cet afflux de notifications qui me concernaient aussi. Les filles n’avaient pas su tenir leurs langues (ou doigts) et avaient posté une vidéo montrant Kelly interpréter une chanson « gagatesque » tout en étant accompagné par mes soins à la guitare. Je me fichais pas mal du rendu, ni de quoi j’avais l’air. Pour ne rien vous cacher, je redoutais la réaction de Kelly et le fait qu’elle puisse possiblement mal le prendre.

« — Oui si tu es en colère. Tu as le droit de l’être. » Je m’approchais pour prendre place à ses côtés. « — Tu n’es pas hystérique. J’en conclus que c’est plutôt bon signe. » Et effectivement, elle n’avait pas l’air particulièrement en colère et semblait même surprise que la vidéo ait été partagée autant de fois en si peu de temps.

« — J’imagine vu ta réaction que 248 000 partages, c’est énorme ! Et que dire du nombre de commentaires que je préfère, pour ma santé mentale, ne pas regarder ? » Elle posa enfin son regard sur moi et je fus presque aussitôt délesté de mon appréhension. « — Ah et bien si ce sont de gentils commentaires ça veut dire que tu ne chantais pas trop faux. » Je l’affublais d’un clin d’œil avant de prendre sa main pour la lier à la mienne. « — A priori, je pense que le fait d’être accompagné par The Madrilian ne va pas nuire à ton image. » Elle reprit son portable en main et tenta d’officialiser non pas notre relation, mais la vidéo qu’elle repartagea sur ses propres réseaux. Cependant, elle prit le temps de me montrer son post. Pour une raison que j’ignore, ce geste me toucha, car quelque part, elle cherchait à m’impliquer en sollicitant mon avis.

« — Arrête, tu n’as pas besoin de t’excuser auprès de Lady Gaga. Dis juste que c’est la chanson que tu écoutes le plus en ce moment. Ainsi, je suis certain que ça va attirer les bonnes personnes. J’ai cru comprendre que les fans de Lady Gaga étaient assez sensibles aux petites attentions. Sinon, c’est un bon post. Tu n’entres pas dans les détails, c’est chouette. » Par la suite ; satisfaite, j’imagine, elle délaissa son portable pour moi, enfin pour « nous » et notre hypothétique petit-déjeuner qu’il fallait préparer.

« — Deal ? Tu fais le café et moi le reste, c’est-à-dire les meilleurs pancakes végans de Madrid. Et après peut-être que tu pourrais me faire écouter quelques petits trucs. Sans oublier Tarra avec deux “r.” Tu as deux spectateurs maintenant, ce n’est pas rien. Mais avant j’ai envie de faire ça. » Résistant mal à l’éloignement, aussi minime soit-il, je rapprochais son tabouret du mien, avant de poser mes lèvres sur les siennes pour la galocher bien comme il faut et faire émerger quelques frissons avant de reprendre une distance convenable.

« — Se dire bonjour sans un roulage de pelle en bonne et due forme, c’est moins sexy. Comme le mot housse. Et puisque je ne pus pas du bec, je me suis dit que c’était l’occasion. » Je ne pouvais m’empêcher de lui sourire et de poser sur elle, ce que j’avais de plus doux en stock niveau regard. « — Je crois que Beltran va nous griller. C’est même sûr ! »



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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej] Dim 22 Jan - 0:29


The love you gave me, Nothing else can save me, S.O.S.


Alejandro semblait inquiet que je puisse être en colère, et à la vérité, je n'avais pas eu tout de suite la réponse à cette question. J'angoissais parce que déjà que je n'avais rien à présenter de tangible quant à ma carrière, si en plus le peu de fois o l'on me voyait sur les réseaux attisait la haine, j'étais foutue. Mais il semblait qu'au contraire, la vidéo captée par l'une des petites cousines faisait un véritable buzz sur internet. Aussi, passé l'étonnement, j'avais fait comprendre à Alej que je n'étais pas énervée mais plutôt agréablement surprise par la tournure que prenaient les choses, bien qu'indéependantes de mon contrôle et de ma volonté. Les commentaires étaient gentils et encourageants. J'avais des fans vraiment adorables, et ce dans le monde entier. Alors, j'avais à mon partagé la vidéo puis avait montré le post à mon chéri avant de l'envoyer.

- Déjà, pour ta gouverne, cher Mister The Madrilian, je ne chante jamais faux. Ensuite, il est vrai qu'être accompagnée à la guitare par le madrilène le plus sexy de la ville devrait plutôt être avantageux, il est vrai. Et... Je pense que si, je devrais m'excuser, c'est sa chanson et elle seretrouve sur le net chantée et jouée par d'autres personnes sans permission.

Le post envoyé, malgré que les notifications continaient à se faire entendre, ou plutôt sentir, j'avais décidé de profiter un peu de mon tout nouveau petit ami en proposant du café. Mon madrilène proposa même que je m'en charge pendant qu'il préparait les pancakes, la délicieuse version végane qu'il avait confectionnée pour moi lors de notre premier petit dej chez lui. Je trouvais cela touchant. Et avant que je n'aie eu le temps de dire quoi que ce fut, il s'était rapproché pour venir m'embrasser. Je souriais à moitié, passant mes bras autour de son cou. Puis, nos visage s'écartèrent un peu et ma main se posa sur sa joue.

- Tu es tellement mignon. Beltran ? m'étonnai-je d'un seul coup. Tu me galoches pour me dire bonjour et tu penses à ton pote ? Ça non plus c'est pas sexy, dis-je en riant pour le taquiner. Tu sais quoi ? On verra bien. Ne nous prenons pas la tête.

Je laissai ma main glisser sur sa joue, faisant le tour pour accéder à la cuisine et préparer le café tout en fredonnant l'air de "Remember us this way". Quand Alej eut fini sa préparation, nous pûmes tout apporter sur la table avec tasses, assiettes, couverts et sirop d'érable.

- Ça sent très bon, dis-je en lui servant une tasse de café avant de faire de même av ec la mienne.

Pendant que nous mangions, Tarra venait se frotter à nos chevilles avant de grimper sur ma chaise juste dans mon dos. Je bus une bonne gorgée salvatrice de café.

- Faut qu'on rachète du lait d'avoine. Et tes pancakes sont délicieux. On dirait même qu'ils sont meilleurs à chaque fois !

Je finissai d'engloutir mon pancake imbibé de sirop d'érable.

- Alors, qu'est-ce qu'on fait aujourd'hui ? Est-ce que tu as une tradition du 25 décembre ? Tu fais quoi d'habitude ?

Je me levai, dérangeant à peine Tarra qui s'était lovée sur la chaise pour se rendormir, et pris mon assiette pour la rapporter à la cuisine. Machinalement, j'attrapai mon téléphone portable pour m'enquérir des nouvelles, et là, je restai interdite.

- Oh... MON... DIEU ! AAAAAAH ! LADY GAGA A COMMENTÉ !!!

J'arrivai en sautillant faire Alej pour lui montrer le commentaire de la chanteuse incroyablement talentueuse et célèbre dont j'avais repris une chanson la veille seulement. Un commentaire qui disait : "Sympa ta version, à quand un duo ? ;)".
Étais-je hystérique ? Peut-être un peu.

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Sujet: Re: The love you gave me Nothing else can save me, S.O.S. [Ft Alej]

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